Psychogénéalogie
La psychogénéalogie est une méthode psychanalytique fondée par Anne Ancelin-Schützenberger qui consiste à rechercher dans le vécu de nos ancêtres les sources de nos troubles psychologiques, comportements étranges, maladies actuelles. Cette approche, dite transgénérationnelle, repose sur le concept d’inconscient collectif développé par Carl Gustav Jung et celui de loyauté familiale invisible selon lequel il existe des dettes, des injonctions et des transmissions familiales qu’il faut porter. Basée sur l’étude du génosociogramme, cette méthode a pour objectif principal de repérer ce qui a pu se transmettre d’une génération à l’autre et de s’en libérer.
La psychogénéalogie est une méthode d’investigation, dite “rapide”. En règle générale, une dizaine d’heures en séance individuelle permet d’appréhender l’origine de certains problèmes.
La psychogénéalogie est une méthode psychanalytique fondée par Anne Ancelin-Schützenberger qui consiste à rechercher dans le vécu de nos ancêtres les sources de nos troubles psychologiques, comportements étranges, maladies actuelles. Cette approche, dite transgénérationnelle, repose sur le concept d’inconscient collectif développé par Carl Gustav Jung et celui de loyauté familiale invisible selon lequel il existe des dettes familiales dont il faut s’acquitter. Basée sur l’étude du génosociogramme, cette méthode a pour objectif principal de repérer ce qui a pu se transmettre d’une génération à l’autre et de s’en libérer.
Un travail d’investigation : basé sur la rédaction du « génosociogramme », un arbre généalogique constitué des faits marquants et des événements importants, heureux ou malheureux, relevés sur plusieurs générations. Dans le but de relever et clarifier les coïncidences de dates et d’âges chez divers membres d’une même famille. Mais le plus important est d’y inscrire tous les grands événements de la vie de nos ancêtres : mariages, naissances, séparations, maladies graves, lieux de résidence, déménagements, accidents, etc. On commence ce travail de mémoire en interrogeant les membres de sa famille, puis on complète les informations en utilisant les méthodes d’investigation habituelles de la généalogie – recherches dans les registres des mairies, enquêtes dans les régions d’origine, etc.
Le génosociogramme met ainsi à jour la nature des relations entre les différents membres de la famille. Préciser les règles familiales et les rôles de chacun. Découvrir nos parents et nos grands-parents à travers leur propre histoire et se situer ainsi dans une perspective générationnelle où chacun de nous est un maillon de l’histoire familiale. Mettre en évidence les deuils non résolus et leurs effets sur les générations suivantes. Établir les répétitions familiales sur plusieurs générations. Cette représentation graphique, qui évolue au fur et à mesure des séances, permet au consultant de visualiser ce qui est véhiculé à travers les générations, de comprendre sa vie autrement, de déterminer ce qui lui revient en propre et de remanier ses choix de vie.
Les grandes indications de la psychogénéalogie sont évidemment de l’ordre du secret de famille, des répétitions amoureuses négatives, des faillites, des échecs professionnels récurrents etc… Dans le cas de secrets plus “toxiques” encore comme l’inceste, le suicide, l’alcoolisme…, l’enjeu de la thérapie est de donner à celui qui le subit sans en avoir connaissance, les clés qui lui permettront de se réaliser en tant qu’adulte libre du poids de sa lignée.
La psychogénéalogie est une méthode d’investigation, dite “rapide”. En règle générale, une dizaine d’heures en séance individuelle permet d’appréhender l’origine de certains problèmes. Suivant l’envie du patient, ce travail peut être suivi par un travail psychothérapeutique afin d’intégrer ces éléments.
Tarif
65€